Le RC3 affiche un récap sommaire à la fin de la course, et on peut aussi aller consulter l’historique des données sur la montre. Mais si on veut les exploiter de manière un peu plus poussée il faut passer par le logiciel WebSync et transférer toutes les données de l’entraînement sur le site dédié Polar Personal Trainer. Les sites de ce type sont pléthore, chaque fabricant de cardio-fréquencemètre et chaque éditeur d’application de running ayant la bonne idée de publier le sien.
Mais comme tous permettent aussi d’exporter un fichier au format GPX, au final on peut choisir d’utiliser celui qu’on préfère. Voire ceux qu’on préfère.
Les données de l’activité
Le gros des fonctionnalités est similaire à ce que proposent les sites concurrents. On visualise le parcours sur une carte, tandis qu’un graphique regroupe les courbes de fréquence cardiaque, d’allure et d’altitude. Et un diagramme en barres affiche le temps passé dans les différentes SportZones qui ne sont autres que les traditionnelles zones de fréquence cardiaque.
La bonne idée dont le Forerunner[1] ne disposait pas, c’est de gérer en parallèle les tours automatiques (1 km en ce qui me concerne), les temps intermédiaires déclenchés manuellement et les phases des entraînements programmés.
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