Après quelques mois de pratique assidue de la course à pied j’en ai eu assez, après chaque sortie, de retracer mon parcours sur l’un ou l’autre site internet de cartographie afin de mesurer la distance réellement parcourue. J’ai donc lorgné du côté des GPS de running.
Parmi les trois principales marques, seul Garmin intégrait le capteur GPS au boîtier de la montre ce qui me paraissait impératif. Finalement j’ai trouvé une bonne affaire et opté pour le Forerunner 305.
Aspect général
Le boîtier est assez volumineux par rapport à ce qui se fait de mieux. Même à l’époque où je l’ai acheté. Les boutons ont un peu de jeu, ce qui donne un petit air cheap de montre à deux balles.
La ceinture cardio est assez rigide mais pas gênante, elle se fait très vite oublier.
Utilisation
La synchronisation avec les satellites GPS est assez laborieuse. Il faut souvent quelques minutes avant d’obtenir une localisation, mais il faut dire que je cours souvent dans des zones urbaines où la proximité des immeubles perturbe la transmission des signaux.
L’autonomie est très bonne, j’ai fait des randos de 8 ou 10 h sans problème.
Les écrans différents par type d’activité (running, vélo, autre) et la possibilité de personnaliser les données affichées sont aussi des fonctionnalités très utiles.
Le logiciel propriétaire est suffisant pour transférer et stocker les données. De là j’exporte la trace au format GPX pour exploiter les données de cartographie.
Durée de vie
C’est peut-être là que le bât blesse. Mon Forerunner est parti en SAV au bout de dix mois pour des problème de démarrage – de non démarrage en fait – et a été remplacé. Depuis le marathon où il est resté sous la pluie pendant plusieurs heures, la batterie se décharge à un rythme continu, même lorsque l’appareil est éteint. Je dois donc prendre la précaution de le charger dans les quelques heures qui précèdent la sortie.
Du coup je commence à m’intéresser à ce qui se fait en ce moment, histoire de trouver son successeur.
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